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(2019, Octubre) Association des Historiens Modernistes des Universités de France (AHMUF)
3. Varia
Lot Ahmuf, Vol 126, Parution 13 Thèmes du jour : 1. Annonce de séminaire équipe de recherche ANR DERVI (Dire. Entendre. Restituer les Violences Incestueuses) (Julie Doyon) 2. DERNIER RAPPEL ! AAC - CONGRÈS de la SFHU - Mettre la ville en atlas - Bordeaux, janvier 2020 (Natacha Coquery)
Message: 1


Chères et chers collègues

Nous avons le plaisir de vous adresser le programme du séminaire que nous organisons dans le cadre de la recherche ANR DERVI (Dire, Entendre, Restituer les Violences Incestueuses, CNRS, EHESS, Paris-13). Il réunira, dans une perspective d?échanges interdisciplinaires, des actrices et des acteurs du monde professionnel ainsi que des chercheuses et des chercheurs issus des sciences humaines et sociales (anthropologie, sociologie, droit, histoire, lettres).

Le séminaire se tiendra un jeudi par mois de 16h00 à 19h00
Lieu : EHESS, 54 boulevard Raspail 75006, Paris
Salle : A05-51, 5ème étage

Les participations sont ouvertes. Nous vous prions toutefois de vous annoncer au préalable.


Recherche ANR DERVI (CEMS/EHESS-CNRS, Pléiade/Paris-13)
Dire. Entendre. Restituer les Violences Incestueuses

Séminaire interdisciplinaire organisé par Anne-Claude Ambroise-Rendu(CHCSC/Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines), Sylvaine Camelin (LESC/Paris-Nanterre), Anne-Emmanuelle Demartini (Pléiade/Paris-13), Julie Doyon (FNS-Fribourg/Paris-13), Charlie Duperron (CEMS/EHESS-CNRS), Fabienne Giuliani (CEMS/EHESS-CNRS), Léonore Le Caisne (CEMS/EHESS-CNRS)


Taire, confier, révéler
Le secret, de l?intime au social


Témoignages de victimes, travaux anthropologiques ou historiques, rapports de professionnels de la justice ou de l?aide sociale à l?enfance, tous le montrent : les histoires d?inceste, compris comme une relation sexuelle engagée avec un enfant dans le cadre familial, sont des histoires de secret. Caché, plus ou moins volontairement ou consciemment préservé, le secret est difficile, voire impossible à révéler ou à découvrir.

Lié au tabou, le secret de l?inceste résulte de « l?injonction au silence, véritable règle d?or de la famille incestueuse » (D. Dussy et L. Le Caisne), qui scelle la relation de domination entre la victime et son agresseur, confirmant l?interdit de l?inceste tout en autorisant sa transgression. Comprendre en effet comment les violences incestueuses, quoique publiquement dénoncées comme un mal absolu, perdurent dans la trame ordinaire du quotidien et peinent à accéder à la visibilité et à être judiciarisées, implique de prendre en compte le secret qui pèse sur elles, son rôle et son fonctionnement dans les familles concernées par l?inceste, voire dans leur entourage et plus largement dans la société.

Comment la relation incestueuse se constitue-t-elle en secret et comment le secret s?impose-t-il et se transmet-il ? Comment « suinte »-t-il (S. Tisseron) en instillant doute, soupçon, commérage ou rumeur publique ? La notion de secret permet de penser le piège de l?inceste pour les victimes mais interroge également l?ordinarité des violences sexuelles subies par les enfants lorsqu?elles sont suspectées, connues, mais tues, voire tolérées. Quand, par qui, à qui, comment, dans quelles conditions et avec quelles conséquences le secret est-il révélé ? Comment ce qui est mis à part, placé à l?écart, retiré (secretus), peut-il revenir dans le champ de l?énonciation, de la dénonciation, de la mémoire, de la prise en charge institutionnelle ?

Afin d?éclairer l?inceste et de mieux comprendre ce qui empêche ou permet de le dire, de l?entendre et de le restituer aujourd'hui, le séminaire, animé par les anthropologues et les historiennes de la recherche ANR DERVI (« Dire, Entendre, Restituer les Violences Incestueuses »), propose de réfléchir à la thématique du secret, dans une perspective large.
Le secret connaît en effet des domaines d?application multiples (le mythe, le droit, la politique, la psychologie, etc.) et offre toutes sortes de déclinaisons dont certaines sont attendues : secret d?État, secret médical, secret professionnel, secret de l?instruction, secret de fabrication, secret de la confession, secret bancaire, secret des origines, secret de l?accouchement, etc. Or, l?exigence actuelle de transparence, ainsi que la notion en plein essor de « droit à la vérité », tendent à dévaloriser les pratiques sociales liées au secret. Le secret sépare et distingue, il est partagé par un groupe restreint d?« initiés », et jugé inégalitaire. Non seulement l?institution du secret renvoie à un principe sélectif d?inclusion et d?exclusion, mais elle participe aussi de la structuration de liens (familiaux, professionnels, politiques, etc.) menacés par sa révélation. En ce sens, le secret pourra également être envisagé comme constitutif de certaines formes d?organisation sociale et étatique (G. Simmel). En invitant chercheurs, praticiens, auteurs à présenter leurs travaux ou à faire part de leur expérience professionnelle, le séminaire entend explorer une pluralité de terrains dans lesquels la question du secret se pose, ainsi que diverses modalités de réception/révélation du secret par des individus (« victimes », travailleurs sociaux, psychologues, enquêteurs, avocats, auteurs, journalistes?) ou des institutions (États, religions, administrations?) dans l?espace public.

Renseignements par courriel : dervi@listes.huma-num.fr
Adresse(s) électronique(s) de contact : charlie.duperron@ehess.fr ;fabienne.giuliani@ehess.fr

Programme (2019-2020)

Séance 1. Jeudi 28 novembre 2019 : Secret(s) et fiction
*** Cette première séance commencera à 16h30

Christopher LUCKEN (littérature médiévale, université Paris 8) : « Récit et silence :Philomena(Ovide) et Le Roman de sept sages de Rome (XIIe siècle) »
Julie WOLKENSTEIN (littérature comparée, université de Caen) : « Ce que la fiction fait du viol incestueux, et réciproquement : deux cas particuliers, Tendre est la nuitde F. S. Fitzgerald (1934) et Chinatownde R. Polanski (1974) »

Séance 2. Jeudi 6 février 2020 : Secret(s) de famille, traces et transmission

Charlie DUPERRON (sociologue, CEMS, EHESS) : « "Ce qui vaut la peine d?être dit". Réflexions sur la place des secrets dans la recherche de personnes désignées comme disparues »
Muriel KATZ (psycho-clinicienne, université de Lausanne) : « Un secret bien gardé en cache souvent un autre : témoigner après un génocide pour donner voix aux absents comme à sa propre histoire »

Séance 3. Jeudi 26 mars 2020 : Secret(s)de la confession et Église

Paola DIAZ (sociologue, ICSO-UDP-COES/CEMS, EHESS) : « Abus ecclésiastique : d'un silence global à un problème public transnational (Chili/Etats-Unis) »
Anne-Françoise PRAZ (historienne, université de Fribourg) : « Les murs du silence. Dissimulation et révélation des abus sexuels sur enfants dans un établissement catholique en Suisse »

Séance 4. Jeudi 30 avril 2020 : Secret(s) des origine(s) : l?adoption

Marie-Christine LE BOURSICOT (magistrate, Conseiller honoraire à la Cour de cassation, ex-Secrétaire générale du Cnaop) : « L?accès des personnes adoptées à leurs origines personnelles »
Yves DENÉCHÈRE (historien, TEMOS-CNRS FRE 2015, université d?Angers) : « Secret(s) de l?adoption : approche historique contemporaine »

Séance 5. Jeudi 28 mai 2020 : Secret(s) et travail social

Sylvaine CAMELIN (anthropologue, université de Paris-Nanterre, LESC) : « Entre secret et prudence : la gestion des informations personnelles dans la prise en charge des enfants confiés à l?ASE »
Véronique BLANCHARD (ENPJJ) : « Secret ou surdité ? La justice des enfants face aux violences sexuelles sur mineures (1950-1960) »

Séance 6. Jeudi 11 juin 2020 : Secret(s)et crimes contre l?humanité

Élisabeth CLAVERIE (anthropologue, ISP Nanterre) : « Autour des crimes de guerre : les cas de l?ex-Yougoslavie et du Congo »
Marie-Jeanne SARDACHTI (magistrate, Cour pénale internationale de La Haye) : « Révéler les crimes sexuels : l'exemple de Tombouctou en 2012 » (sous réserve)

Séance 7. Jeudi 18 juin 2020 : État, droit(s) au(x) secret(s), identités

Sévane GARIBIAN (juriste, Fonds national suisse, université de Genève) : « (Dés)affilier. Disparitions et réapparitions forcées de la vérité en Argentine »
Dominique MEHL (sociologue, IRISSO, LCP, CNRS) : « Enfants du don. Secret et anonymat »


Équipe ANR DERVI (Dire. Entendre. Restituer les Violences Incestueuses)
dervi@listes.huma-num.fr
https://dervi.hypotheses.org/
https://twitter.com/ANR_DERVI


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Message: 2
*DERNIER RAPPEL !*



/Chers collègues,
/

/Le *prochain congrès de la SFHU*, organisé par Ézéchiel Jean-Courret,
Sandrine Lavaud, Sylvain Schoonbaert , avec le soutien de l'Université
Bordeaux Montaigne, d'Ausonius, de la Ville de Bordeaux et de Bordeaux
Métropole, aura lieu les 16 et 17 janvier prochain.
/

/Son thème  : /*/Mettre la ville en atlas : ambitions, productions et
pratiques de l?Antiquité à nos jours/*

/Vous trouverez l'appel à communications ci-dessous, en pièce jointe et
sur le site de la SFHU : https://sfhu.hypotheses.org/4995
/

/Date limite : 26 octobre 2019
/

/Comme habituellement, l'AG de la Société et la remise du prix de thèse
auront lieu à cette occasion./

/N'hésitez pas à diffuser l'information !/

/Bien à vous, /

/Virginie Mathé, pour le bureau./

/
/

/
/

/Sfhu/

*Congrès de la Société Française d?Histoire Urbaine*

*16-17 janvier 2020, Bordeaux*

**

Jeudi 16 janvier : Université Bordeaux Montaigne ? UMR 5607 Ausonius

Vendredi 17 janvier : Bordeaux Métropole ? Cité municipale de Bordeaux

**

*Mettre la ville en atlas :*

*ambitions, productions et pratiques *

*de l?Antiquité à nos jours *

*Appel à communications*

Convaincue de la pertinence de l?approche géohistorique pour interroger
le fait urbain, la SFHU souhaite consacrer son prochain congrès, en
2020, à la place et aux rôles de la ville dans les productions d?atlas.
Au sens commun, l?atlas est un recueil qui combine productions
cartographiques et commentaires textuels dans une perspective
universelle. Néanmoins, c?est dans une acception polysémique du terme
que cet appel à communications entend interroger les ambitions, les
productions et les pratiques de ce mode singulier de représentation, de
ses origines à nos jours. /Atlas/, /Description/, /Cosmographie/ et
/Miroir/ /universel/, /Table/, /Théâtre/, /Recueil/, sans oublier
/Uranographie/, /Neptune/ et autres /Portulans/?, la grande variété des
appellations souligne celle, sur la longue durée, des productions, dont
la ville est une composante ou un sujet central. Toutes ces sommes sont
conçues sur l?articulation d?une collection de cartes et de descriptions
textuelles et combinent l?expérience (le voir et le vu de l?image
géographique) et la connaissance (le savoir du dit et de l?écrit, du
connu et de l?inconnu), à la façon d?un « essai » au sens montaignien du
terme. Dans sa forme originelle, la vocation globalisante, voire
encyclopédique, des atlas touche aux relations entre le raisonnement à
l?origine de leur mise en ?uvre et la forme qu?ils adoptent. La finalité
première et intrinsèque, même inavouée ou rarement accomplie, est
d?ouvrir à une démarche comparative car il s?agit de donner sens à
l?hétérogénéité du monde ou à une région de savoirs et d?en proposer une
mise en ordre par le recensement, la terminologie et la sémiologie. Le
sérieux d?un atlas se mesure ainsi à l?importance des nomenclatures qui
en font un fichier des lieux ; il peut alors passer pour un
« chef-d??uvre » d?érudition, le /summum/ d?un savoir-faire et des
compétences de ses producteurs.

Si l?atlas a vocation à penser l?universel, la ville en est un objet
géographique majeur, qu?elle soit point-repère, vecteur de normes,
marque d?appropriation, de définition et de contrôle du monde connu.
Corrélativement, les espaces ruraux n?apparaissent souvent qu?en
négatif, comme soumis à un centre, la plupart du temps, une ville relais
du pouvoir central dans l?aménagement et la gestion du territoire. Cette
dernière thématique questionne la notion même d?atlas et pourrait
l?élargir à d?autres sources documentaires qui se jouent de
l?articulation entre représentations géographiques et textes : atlas
fonciers et fiscaux (terriers/ plans-terriers, cadastres?), comme encore
atlas servant à la planification et à l?aménagement urbain (plans
d?embellissement, d?alignement, d?aménagement, d?occupation des sols,
SCOT, PADD, PLU ; plans vert ou bleu, plans lumière, chartes
d?aménagement, plans de rénovation urbaine?). Ces « produits dérivés »,
en forte augmentation, se nourrissent de la profusion actuelle des
outils et des données numériques, néanmoins, ceux-ci ne suffisent pas à
faire atlas, de sorte qu?on exclura de l?analyse ce qui relève de la
construction des sources et des métadonnées, sans leur mise en discours.
En revanche, le renouvellement des approches, sur des thématiques tant
matérielles qu?immatérielles, montre le succès du genre et doit trouver
toute sa place dans la réflexion.

Objet des cartographes, outil de compréhension de l??koumène dont
l?/urbs/ est la manifestation civilisationnelle majeure, l?atlas fait
intervenir des connexions disciplinaires, particulièrement et dès
l?origine celles de la géographie et de l?histoire ; encore mal ajusté
dans les premières productions, ce jeu de regards génère une image
géographique souvent plaquée à une histoire descriptive et encore
enchantée de merveilles, avant que ces disciplines ne fusionnent, à
partir du XIX^e siècle, dans la géographie historique puis, à partir des
/Annales/, dans la géohistoire de Fernand Braudel ou de Charles Higounet
ou encore plus récemment dans l?archéogéographie. Alors que la première
se mettait au service du pouvoir central et d?une lecture administrative
et militaire de l?espace, les suivantes ne sont plus serves et
développent une pensée scientifique apte à restituer la fabrique urbaine
dans la dialectique espace / société.

*Pourquoi et comment mettre la ville en atlas ? Quelle est l?efficience
de l?outil dans l?approche géohistorique de la ville ?*

**

*Quels sont les rôles de la ville dans la production des atlas** ?
*Quelles sont ses caractéristiques de représentation et ses singularités
au regard des autres objets géographiques ? Quelle est sa place parmi
les acteurs commanditaires ? Quels raisonnements président au choix des
producteurs ? Quelles normes de la sémiologie et des discours pour
quelles représentations et projections de la ville ?

***Quels* *enjeux sous-tendent les relations disciplinaires dans la
fabrication d?atlas urbains *? Comment s?articulent (ou pas) les
approches géohistoriques et urbanistiques ? Comment les atlas
entrent-ils dans la constitution d?un savoir historique sur la ville et
la fabrique urbaine ? Pour quelles réceptions et utilisations ?

La SFHU, soutenue par l?Université Bordeaux Montaigne et l?UMR 5607
Ausonius, la Ville de Bordeaux et Bordeaux Métropole, au sein de la
Direction générale de la valorisation des territoires, lance cet appel à
communications dans une approche essentiellement pluridisciplinaire et
internationale, ouverte à toutes les périodes historiques et à tous les
champs géographiques, pour un congrès qui se tiendra les 16 et 17
janvier 2020 à l?Université Bordeaux Montaigne et à la Cité municipale
de Bordeaux/./ Les interventions dureront 20 mn.

Les propositions de communication, en français ou en anglais,
comporteront un titre et un résumé d?environ 1 500 signes, ainsi que les
coordonnées de l?intervenant (nom, prénom, fonction et rattachement
institutionnel, courriel, adresse postale). Elles devront être
adressées avant *le 26 octobre 2019* à :

bourillon@u-pec.fr

laurent.coudroydelille@wanadoo.fr

sschoonbaert@bordeaux-metropole.fr

*Comité scientifique* : Ézéchiel Jean-Courret, Sandrine Lavaud, Sylvain
Schoonbaert et les membres du bureau de la SFHU

*Comité d?organisation* : Ézéchiel Jean-Courret, Sandrine Lavaud,
Sylvain Schoonbaert

*Congrès SFHU Bordeaux*

**

*Programme prévisionnel*

*16-17 janvier 2020*

*Jeudi 16 janvier 2020, UBM-UMR 5607 Ausonius*

*Amphithéâtre de la Maison de l?Archéologie*

10h-11h          Transport et accueil des participants

11h-13h          Assemblée générale de la SFHU

13h-14h          Pause déjeuner (lunch) hall Archéopôle

14h-14h30      Ouverture du congrès (président de la SFHU, directeur
Ausonius, présidente UBM ou VP Recherche)

14h30- 18h     1^ère session

18h15-18h45 Remise du prix de thèse SFHU

18h45-19h30 Cocktail

 Dîner restaurant centre-ville

*Vendredi 17 janvier 2020, Cité municipale*

*Amphithéâtre Sydney*

9h-9h30          Accueil

9h30-  12h30  2^nde session

12h30-14h Pause déjeuner

14h-16h30 Visite : quartier Saint-Seurin, îlot des Sourds-Muets,
basilique Saint-Seurin

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_______________________________________________
Ahmuf mailing list
Ahmuf@listes.sorbonne.fr
https://listes.sorbonne.fr/mailman/listinfo/ahmuf


Fin de Lot Ahmuf, Vol 126, Parution 13
************************************
información recibida 16/10/2019

 

 
 
 

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